Le technicien portugais Carlos Queiroz fait écho avec force dans l’arène de la Fédération algérienne de football, pour encadrer le modèle technique de l’équipe nationale en tant que successeur de Djamel Belmadi.
Avant que le syndicat du président Walid Saadi n’annonce le nom du nouveau sélectionneur national, et parce que la question du salaire a suscité beaucoup de confusion, d’échanges, d’accusations et de coups bas, il a fallu clarifier ce que touchait le technicien Carlos Queiroz ces dernières années, et qui se présente comme suit :
Le technicien Carlos Queiroz a entraîner l’équipe nationale colombienne
En février 2019, avec un salaire annuel approchant les 3 millions de dollars. Mais la Fédération locale de football a mis fin à ses fonctions sous prétexte de résultats négatifs enregistrés en décembre 2020.
Il est resté sans travail jusqu’en septembre 2021, date à laquelle il a pris les rênes techniques de l’équipe nationale égyptienne. Il n’est resté à son poste que six mois et a reçu un salaire mensuel de 127 000 euros.
Il s’éloigne à nouveau du milieu des entraîneurs, puis revient en septembre 2022 dans l’équipe nationale iranienne (il l’a supervisée entre 2011 et 2019), et accepte une courte offre qui expire fin décembre de la même année, avec un « misérable » salaire mensuel de 50 mille euros (en plus des 30 mille euros par mois, le total reçu par quatre techniciens qu’il avait amenés avec lui), étant donné que la Fédération locale de football souffrait de difficultés financières.
Au 1ᵉʳ mars prochain, Carlos Queiroz aura 71 ans et l’équipe nationale sera en tête des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, afin d’éviter la « folie » dans laquelle sont tombés les responsables de la Fédération de football Daly Ibrahim lors de la conclusion de contrats précédents. On suppose que Walid Saadi sera strict sur la compensation financière, que ce soit avec ce technicien portugais ou d’autres.