Lors du week-end dernier, des dizaines de manifestants ont été arrêtés par les forces de sécurité marocaines alors qu’ils participaient à des manifestations pacifiques dans plusieurs villes, y compris Rabat, Casablanca, et Marrakech. Ces manifestations ont pris une ampleur nationale dès le samedi, conduites principalement par des jeunes qui réclament une réforme des services publics de santé et d’éducation.
Manifestations au Maroc : Lutte pour la justice sociale et la répression
Un collectif baptisé « GenZ 212 » a incité ces rassemblements, centrant ses revendications sur la transparence et la justice sociale. Malgré le caractère pacifique des manifestations, les autorités ont réagi avec fermeté. Des vidéos partagées en ligne montrent des interpellations musclées. Un jeune homme de 19 ans, partie prenante du mouvement, a exprimé sa frustration face à la répression, soulignant que la liberté d’expression semble illusoire dans le pays. Il a été arrêté à l’issue d’une manifestation.
Contextes et conséquences des manifestations
Le climat social est tendu, exacerbé par des événements tragiques comme le décès de femmes enceintes à l’hôpital public d’Agadir. La corruption et les inégalités en matière de santé et d’éducation sont au cœur des préoccupations des manifestants. Selon le rapport mondial sur les inégalités de 2022, le Maroc est classé parmi les pays les plus inégalitaires avec une concentration de la richesse au sein de 10% de la population. Ces manifestations reflètent les aspirations des citoyens pour un changement véritable et structuré-++
Et vous oubliez la presense humiliante d’Izrahellllllll