Le vendredi 15 août 2025, une chute de bus a secoué l’Algérie. Un bus plonge dans l’Oued El Harrach à Alger, faisant 18 morts et 24 blessés. Le président Tebboune décrète un jour de deuil national en hommage aux victimes.
Chute de bus à Oued El Harrach : Un accident dévastateur affecte l’Algérie
Le 15 août 2025, la route algérienne a été le théâtre d’un événement tragique. En fin d’après-midi, un bus de transport de voyageurs a dérivé et s’est précipité dans l’Oued El Harrach à Alger. Ce malheureux accident a fait 18 morts et a blessé 24 personnes, selon les informations fournies par la Protection civile. Ce drame a bouleversé toute la nation et incité le président Abdelmadjid Tebboune à décréter un jour de deuil national. À partir de vendredi soir, le drapeau national sera en berne en hommage aux disparus.
Réaction du président face à cette tragédie
Le président Tebboune a exprimé avec émotion sa sympathie envers les familles affectées. Dans un message solennel, il a partagé sa tristesse profonde face à cette perte dévastatrice. Il a adressé ses condoléances sincères, implorant qu’Allah accorde aux victimes Sa miséricorde et qu’Il réconforte leurs proches dans cette épreuve insupportable. Le message était rempli de compassion et de solidarité envers les familles des victimes.
Chute de bus : Déploiement des secours et premier bilan
L’accident (la chute de bus) s’est produit à 17h45, provoquant immédiatement une réponse massive des secours. À 17h46, les unités de la Protection civile étaient déjà sur place. Le dispositif de sauvetage comprenait 16 plongeurs, 25 ambulances, deux camions d’intervention, quatre embarcations et une équipe spécialisée. Deux personnes en état critique ont reçu de premiers soins avant leur transfert à l’hôpital le plus proche.
Les corps des victimes ont également été transportés à la morgue par les services de secours. Pour superviser les efforts de sauvetage, une délégation officielle a rapidement été dépêchée sur les lieux. Celle-ci comprenait plusieurs hauts fonctionnaires du gouvernement, dont un directeur de cabinet à la Présidence, des ministres, le chef de la Protection civile et d’autres responsables.