Des candidates sans visage sur les listes électorales pour les législatives du 12 juin prochain sont de retour et sous plusieurs étiquettes politiques. On croyait cette option “invisible” l’exclusif apanage des partis islamistes, mais finalement la mode se généralise. Le comble est d’avoir mis en place un dispositif juridique à même de garantir un scrutin transparent, alors qu’en face l’électeur aura à choisir entre des candidates sans aucune visibilité. Il aurait peut-être mieux fallu commencer par imprimer un peu de transparence chez les partis et candidats à cette élection. Et l’Anie ne souffle mot sur ces “cas” qui ont offert un bon sujet de discussion, tournant la situation à la “risée” et surtout enflammant la Toile.
Des candidates sans visage sur les listes électorales pour les législatives du 12 juin prochain sont de retour et sous plusieurs étiquettes politiques. On croyait cette option “invisible” l’exclusif apanage des partis islamistes, mais finalement la mode se généralise. Le comble est d’avoir mis en place un dispositif juridique à même de garantir un scrutin transparent, alors qu’en face l’électeur aura à choisir entre des candidates sans aucune visibilité. Il aurait peut-être mieux fallu commencer par imprimer un peu de transparence chez les partis et candidats à cette élection. Et l’Anie ne souffle mot sur ces “cas” qui ont offert un bon sujet de discussion, tournant la situation à la “risée” et surtout enflammant la Toile.