Selon le journal de Montréal « deux travailleuses autonomes en entretien ménager auraient été victimes de harcèlement psychologique, d’abus de pouvoir, d’insultes, de cris et d’humiliation ». Soulignons que le consul, Nourredine Meriem, et son épouse seraient les coupable. Les victimes en questions sont du nom de Marisa Amaya, 65 ans, et Elida Rivera Lopez, 69 ans, ces deux se disent victimes d’humiliations, insultes, cris et sexisme. Elles « ont été exploitées par le consul d’Algérie et son épouse ». « Nos clientes, en plus d’être littéralement exploitées, n’avaient droit à aucune pause et leurs arrêts de maladie furent ni plus ni moins rejetés », a souligne l’avocate Yasmina Boukossa, en 2021, à travers une lettre adressée au consulat général d’Algérie à Montréal et consultée par Le Journal. Face aux différentes accusations le journal de Montréal a tenté de joindre le consul, Nourredine Meriem, et son épouse, mais ces deux ont briller par leur silences. Il faut également signaler que les deux plaignantes réclament respectivement 450 000 dollars en dédommagement.