Les récentes élections du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football (CAF) ont pris une tournure inattendue avec un scandale impliquant la JS Kabylie et l’ES Sétif, représentants algériens. Ce coup de théâtre a entraîné la perte d’un siège vital pour l’Algérie au sein de l’organe exécutif de la CAF, jetant ainsi une ombre sur l’intégrité du processus électoral.
La compétition électorale, qui a vu s’affronter des représentants de plusieurs pays, a été marquée par un geste choquant des représentants de la JS Kabylie et de l’ES Sétif. En votant pour eux-mêmes sans accord préalable, ces deux parties ont sacrifié le siège algérien au profit du président du Raja Casablanca et du représentant d’Al Ahly.
Ce scandale électoral a suscité l’indignation des amateurs de football en Algérie, remettant en question la discipline et la solidarité au sein de la communauté footballistique. Au-delà de la perte du siège, c’est la réputation du football algérien qui est mise à l’épreuve. Alors que le football devrait être un terrain de fair-play et de compétition saine, cet incident souligne l’importance d’une réflexion profonde sur les valeurs qui devraient guider le sport. La communauté sportive algérienne est appelée à tirer des leçons de cette expérience pour mieux se préparer aux défis futurs et maintenir l’intégrité du football national.