La compagnie turque Pegasus Airlines lance une ligne directe entre Istanbul et Alger dès le 23 mai 2025. Cinq vols par semaine sont prévus pour renforcer les liens économiques et touristiques entre les deux pays.
Pegasus Airlines : Un nouveau pont aérien stratégique entre Istanbul et Alger
À partir du 23 mai 2025, Pegasus Airlines inaugure une nouvelle ligne aérienne directe entre l’aéroport Sabiha Gökçen d’Istanbul et l’aéroport international d’Alger. Cette liaison s’inscrit dans une volonté d’élargir la présence de la compagnie turque en Afrique du Nord, avec l’Algérie comme nouveau hub régional. Les vols seront opérés cinq jours par semaine — les lundis, mardis, mercredis, vendredis et samedis — avec des départs à 11h10 depuis Istanbul et des retours à 14h05 depuis Alger. Le tarif aller-retour est proposé à partir de 139,99 euros, ce qui devrait séduire aussi bien les voyageurs d’affaires que les touristes.
Cette initiative reflète la stratégie de croissance internationale de Pegasus Airlines, qui continue de diversifier ses destinations pour répondre à une demande croissante entre la Turquie et les pays du Maghreb. Grâce à ces vols directs, l’accessibilité entre Istanbul et Alger devient plus fluide, facilitant ainsi les échanges dans plusieurs domaines.

Un levier pour le tourisme et les affaires entre l’Algérie et la Turquie
Au-delà du simple transport de passagers, cette nouvelle connexion vise à intensifier les relations économiques et touristiques entre les deux nations. Istanbul, carrefour aérien stratégique pour rejoindre l’Europe et l’Asie, devient encore plus accessible aux voyageurs algériens. Cela ouvre des opportunités pour les échanges commerciaux, les partenariats d’affaires et le développement du tourisme dans les deux sens.
Pour Pegasus Airlines, qui propose déjà une offre compétitive avec des services appréciés, l’Algérie constitue un marché prometteur. En misant sur une liaison stable et régulière, la compagnie renforce sa position dans une région en plein essor. Ce lancement marque ainsi un pas de plus vers la consolidation d’un réseau de transport aérien plus intégré entre l’Europe et l’Afrique du Nord.