Difficile de ne pas savoir que l’économie mondiale a été secouée dernièrement. Alors qu’on parlait de la crise sanitaire liée à la Covid-19, la guerre en Ukraine est venue empirer la situation. Voici ce que prévoit la Banque mondiale pour l’Algérie.
L’avenir n’augure rien de bon. Et le peuple algérien est sérieusement guetté par un danger colossal. La banque mondiale prévoit un ralentissement de la croissance mondiale, affirmant qu’elle va « marquer le pas en 2023, pour tomber à 2,1 %, contre 3,1 % en 2022 ». L’Algérie, faisant partie de la région de la MENA, n’est pas en mage de cette situation. « La croissance dans la région MENA devrait ralentir à 2,2 % en 2023, avec des révisions à la baisse par rapport aux projections de janvier, tant pour les pays exportateurs qu’importateurs de pétrole ».
L’Algérie se trouve dans le viseur, surtout d’autant plus qu’elle fait partie des pays qui exportent le pétrole. Logiquement, elle est impactée par le recul des prix des hydrocarbures et par le flou qui caractérise les marchés pétroliers. Ça ne sent pas bon.