L’absence de Youcef Atal lors du stage d’octobre de l’équipe algérienne crée une rivalité entre Farsi et Radouani pour le poste de latéral droit. Le sélectionneur Petkovic doit faire un choix crucial.
Youcef Atal, une absence qui bouleverse les plans de l’équipe
L’absence de Youcef Atal lors du rassemblement d’octobre de l’équipe d’Algérie a plongé le sélectionneur Vladimir Petkovic dans un dilemme stratégique. Le latéral d’Al-Sadd étant indisponible, Petkovic a dû réajuster son schéma défensif en appelant Saâdi Radouani de l’USM Alger. Radouani, observé depuis un certain temps, est une option solide avec son expérience dans les compétitions africaines, mais il n’était pas le premier choix de septembre, où Farsi, joueur de la MLS, avait été préféré.
Le match contre le Liberia avait montré Farsi sous son meilleur jour, évoluant en tant que piston dans un système à trois défenseurs. Toutefois, l’inconnue reste sa capacité à reproduire ces performances dans une défense à quatre. Le prochain match contre le Togo pourrait s’avérer décisif pour évaluer cette adaptation.
Radouani ou Farsi : un choix stratégique pour Petkovic
Le débat entre Farsi et Radouani met en lumière un choix crucial pour Petkovic : doit-il opter pour la fiabilité de Radouani, aguerri au football africain, ou pour l’énergie et le potentiel de Farsi, plus jeune mais prometteur ? Radouani pourrait offrir une meilleure sécurité défensive, un atout essentiel dans un schéma à quatre défenseurs. En revanche, Farsi, avec ses qualités techniques, pourrait apporter une nouvelle dimension au jeu algérien.
L’issue du match contre le Togo, et surtout la performance des deux joueurs, sera déterminante pour Petkovic, qui doit trancher en fonction des besoins de l’équipe et de l’adaptabilité des joueurs à son projet de jeu.