Au début de 2025, une diminution significative a été observée coïncidant avec une réduction des voyages, dans le secteur des assurances-vie en Algérie, internationaux des Algériens. Impact des restrictions de visas et du taux de change sur l’assurance pour les déplacements en Algérie en 2025.
Voyage à l’étranger: un rêve hors de portée des Algériens
L’assurance pour les déplacements, un produit clé pour les compagnies d’assurance-vie en Algérie, a été durement touchée en raison des récents défis rencontrés dans le secteur des voyages. Ces difficultés incluent le durcissement des procédures de délivrance des visas vers l’Europe, notamment vers la France, et la montée des devises étrangères, avec l’euro atteignant des sommets par rapport au dinar.
Chute des Chiffres de l’Assurance Voyage en 2025
Le rapport du Conseil national des assurances révèle qu’au premier trimestre de 2025, les Assurances de personnes ont généré 10,28 milliards de dinars en Algérie. L’assurance voyage et assistance représente 395,3 millions de ce total, soit 3,8 %. Durant cette période, les produits « Assurance voyage & Assistance–particuliers » et « Assurance voyage & Assistance – collective » ont respectivement connu des baisses de 7,4 % et 11,9 %.
Au premier trimestre de 2025, les primes d’assistance, incluant l’assurance assurance pour les déplacements, se sont montées à 518 millions de dinars, marquant une baisse de 8,2 % comparée à 2024, selon le rapport. Cela met en exergue l’assurance assurance pour les déplacements comme principal facteur de recul de la catégorie Assistance.
Facteurs Limitant les Voyages Algériens en 2025
Le rapport désigne la réduction de la délivrance de visas, en particulier vers la France, comme une cause majeure de la diminution de l’assurance voyage. Cette année, les tensions diplomatiques et le changement de prestataire pour les visas Schengen ont entravé les demandes. Malgré cela, certains consulats recommandent des assurances assurance pour les déplacements d’entreprises de leurs pays.
De plus, la forte hausse de l’euro sur le marché informel alourdit le coût des voyages internationaux. Mis à part la Tunisie, la plupart des destinations restent inaccessibles avec l’allocation touristique de 750 €. Actuellement, 1 euro s’échange à environ 277 dinars sur le marché noir, soit 27 700 dinars pour un billet de 100 €. La Turquie est ainsi devenue une destination coûteuse pour les Algériens, tandis que la Tunisie demeure une option populaire.
Bien que cette situation nuise aux compagnies d’assurance et aux touristes, elle présente une opportunité pour promouvoir le tourisme interne en Algérie, qui dispose d’un immense potentiel naturel et culturel inexploité.