En ce qui concerne l’affaire Amira Bouraoui, la très officielle agence d’information algérienne APS n’a pas trouvé mieux que d’en accuser solennellement le Maroc. Nous vous donnons les détails à travers cette édition de ce vendredi 10 février 2023.
En effet, à travers une courte mais abracadabrante, dépêche de 189 mots publiée hier jeudi 9 février, l’APS aura décidé d’aligné coup sur coup insultes à l’égard d’Amira Bouraoui, «qui n’est ni journaliste, ni militante, et qui n’est rien du tout», et accusations contre les «khabardji» français et, naturellement, contre le Maroc. Et pour cause: «Certains responsables au niveau de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure en France, NDLR), du quai d’Orsay et certains conseillers franco-algériens (qui) ne cachent pas leur amour et leur vénération pour le makhzen» sont derrière cette affaire, écrit l’APS. Ceci, alors que le Royaume n’est concerné ni de près ni de loin par une affaire ayant au moins le mérite de montrer au monde la grande fragilité d’un régime que même son vassal tunisien n’hésite pas à «trahir». Aussi toujours dans logique l’APS compare une simple (bien qu’ingénieuse) exfiltration d’une ressortissante française au «débarquement de la baie des Cochons», soit la tentative d’invasion militaire de Cuba par des exilés cubains soutenus par les États-Unis en avril 1961. Et de sonner, partant, la fin de la parenthèse enchantée entre Paris et Alger. «Il est désolant que tout ce qui a été construit entre les Présidents Tebboune et Macron, pour ouvrir une nouvelle page entre les deux pays, tombe en ruine et la rupture ne semble pas loin», lit-on.
Les proprietaires et redacteurs de ce site qui sent de plus en plus l’odeur des egouts n’ont pas pu resister à l’argent du makhzen qui depense sans compter l’argent fruit de la drogue!…