Ali Bencheikh, figure emblématique du sport algérien, n’a pas mâché ses mots en exprimant son mécontentement face à la gestion actuelle du domaine sportif en Algérie. Ses déclarations audacieuses soulèvent des questions cruciales sur la manière dont le ministère de la Jeunesse et des Sports gère les financements et mettent en lumière la nécessité d’une responsabilisation immédiate.
L’ancien athlète pointe du doigt le ministère, soulignant qu’alors qu’il octroie des fonds aux fédérations et fixe des objectifs clairs pour chaque discipline sportive, il reste inactif en cas d’échec. Pour Bencheikh, il est impératif de prendre des mesures radicales face à un échec total : démission volontaire des responsables ou limogeage. Il déplore la persistance en poste de ceux qui échouent, créant un environnement où l’échec n’est pas sanctionné.
Dans des déclarations sans équivoque, Bencheikh affirme que face à un échec total, des actions immédiates sont nécessaires. Soit les responsables démissionnent, soit ils sont limogés. Il souligne le besoin de responsabiliser ceux qui n’ont pas atteint les objectifs fixés, remettant en question la tolérance envers ceux qui échouent totalement dans n’importe quel sport en restant en poste.
L’ancien meneur du MCA insiste sur l’importance des investissements considérables de l‘Algérie pour que les athlètes soient au sommet de leur forme. Cependant, il est catégorique : lorsque zéro médaille est remportée, cela doit être considéré comme une honte collective nécessitant des actions immédiates.
Les déclarations percutantes d’Ali Bencheikh lancent un appel pressant à une réforme dans la gestion du sport en Algérie. Expert en sports, il exhorte les autorités à agir rapidement pour instaurer la responsabilité et restaurer la fierté nationale. Ces remarques laissent entrevoir la nécessité d’un examen approfondi des pratiques actuelles pour assurer un avenir prometteur pour le sport algérien.
