Découvrez les allégations de tracasseries et de menaces envers les opérateurs économiques en Algérie, avec des informations issues de sources diplomatiques. La Délégation de l’Union européenne réagit aux pratiques controversées du régime algérien et met en lumière des procédures fiscales contestées.
Le climat des affaires en Algérie est sujet à de vives critiques, avec des allégations de tracasseries et de menaces envers les opérateurs économiques, tant locaux qu’étrangers, notamment européens. Ces accusations portent sur des procédures fiscales qui sont perçues comme arbitraires et opaques, visant des entreprises pour des prétendues surfacturations sur la période 2009-2019.
Ces pratiques sont associées à un comité ministériel composé de cinq ministres influents, de hauts fonctionnaires présidentiels et de hauts gradés de la douane en Algérie. Ces accusations ont suscité une réaction de la Délégation de l’Union européenne (UE) en Algérie.
Le ministre-conseiller commercial de la Délégation de l’UE en Algérie, Vassilis Koutsiouris, a envoyé une note aux entreprises européennes opérant en Algérie pour les informer des procédures en cours et les encourager à ne pas payer les amendes imposées dans le cadre de ces redressements fiscaux présumés. Il a également conseillé de ne pas signer de documents liés à la reconnaissance de surfacturations.
La Délégation de l’UE a rassemblé plusieurs opérateurs européens pour les informer de cette situation et les a incités à se tourner vers leurs ambassades à Alger en cas de problèmes avec le comité ministériel algérien chargé des redressements fiscaux.
Avant c’était la corruption entre connaissance et dans le noir, aujourd’hui c’est en plein jour mais avec des lois ou tout le monde, c’est la nouvelle Algérie de Tebboune qui je suis là pour éradiquer l’ancienne corruption mais je vais vous créer la nouvelle et cette fois c’est avec la justice et les flics, pauvre de nous, nôtre pays aime le retard avec des retardataires qui naviguent dans le noir sans lumière.
C’est fini la vache à lait tant pour les importateurs algériens (affairistes entendu) que pour les exportateurs européens (corrupteurs).
Où est mon commentaire ? Censuré ? Liberté de presse. Tu parles !