En Algérie, ils sont plus d’une vingtaine de détenus d’opinion qui ont décidé d’entamé une grève de la faim pour dénoncer les conditions d’incarcération, la maltraitance et la violence au quelles ils sont exposé en prison.
A en croire plusieurs médias il s’agit du deuxième mouvement enclenché au cours de ces trois derniers mois. Cela suite aux détention provisoire qui dure et est vécue déjà comme une condamnation “Aux procès arbitraires s’ajoutent de mauvais traitements dans les prisons. De nombreux détenus d’opinion sont victimes d’intimidation, de brimades multiples et de pratiques de bas étages”, clama Me Yamina Alili, une avocate qui dénonce la situation préoccupante des détenus politiques en Algérie . Rappelons déjà qu’une grande vague d’arrestations est menée contre de nombreux militants, journalistes et défenseurs des droits humains en Algérie. Et déjà 300 prisonniers d’opinion croupissent en prison Selon les organisations de défenses des droits de l’Homme.