Trois internationaux algériens longtemps écartés reviennent en force et bousculent les choix de Vladimir Petkovic. Un retour qui pourrait tout changer à l’approche de la CAN 2025 !
Ils étaient hors-jeu… les voilà incontournables !
La scène internationale algérienne s’apprête à vivre un revirement explosif. Trois noms ressurgissent et captent toutes les attentions : Belkebla, Bouanani et Guitoun. Longtemps absents des radars, ils reviennent aujourd’hui avec la rage de convaincre. Et leur montée en puissance pourrait bien rebattre les cartes au sein des Fennecs.

Haris Belkebla, patron du milieu à Angers, enchaîne les performances de haut vol. Impact, régularité, expérience : il coche toutes les cases. Après avoir été écarté post-CAN 2024, son retour semble désormais inévitable.
Badredine Bouanani, le feu-follet niçois, brille match après match. Sa créativité, son explosivité, sa capacité à dynamiter une défense font de lui un atout offensif redouté. Des contacts avec Petkovic ? Oui. Une convocation en vue ? Plus que probable.

Kévin Guitoun, pilier de la défense messine, arrive à point nommé alors que certains cadres, comme Youcef Atal, peinent à revenir. Son profil rassurant pourrait devenir un pilier inattendu de la charnière algérienne.
Petkovic sous pression : faut-il rappeler les bannis ?
Vladimir Petkovic, souvent critiqué pour sa frilosité tactique, pourrait bien surprendre. Fini les statuts figés. Place aux hommes en forme. Et c’est une rupture forte avec l’ère précédente. « Si tu brilles en club, tu as ta place en sélection », aurait confié un membre du staff algérien. Une philosophie qui redonne de l’espoir à tous les laissés-pour-compte.
Stat choc : 72 % des titulaires algériens en 2024 avaient un temps de jeu inférieur à 60 % en club. Une anomalie que Petkovic semble déterminé à corriger. Mais la question divise : Doit-on rappeler d’anciens joueurs au détriment des jeunes déjà en place ? Le mérite en club suffit-il à garantir une place en sélection ?