Il est prévu que l’impôt sur la fortune, à compter du 1er janvier 2023, selon le projet de loi de finances, comprenne également les bénéfices de la fortune et pas seulement de la propriété, comme le stipulaient les lois précédentes, qui sont les bénéfices qui seront recherchés et estimés par les enquêteurs fiscaux, en coordination avec les organismes officiels, tels que les banques et les gouvernorats immobiliers chargés de l’enregistrement des biens immobiliers, car ces enquêteurs se verront accorder des pouvoirs supplémentaires.
L’un des obstacles dans la mise en œuvre de l’impôt sur la fortune au cours des dernières années, qui devait être approuvé à partir de l’année 2020 tel que contenu dans la loi Finances à l’époque, est l’absence de numérisation, car il est prévu qu’après avoir reçu 76 nouveaux centres fiscaux, recevant des facilités de gestion de la fiscalité en construction, inaugurant le Centre National des Données Gouvernementales, et achevant le processus de numérisation, la mise en place de l’ISF selon une nouvelle vision est attendue à partir de l’année 2023.
Selon les mêmes sources, l’application de l’ISF sera cette fois différente en comptant la taxe foncière ainsi que la taxe sur les rendements, puisque la Direction des Impôts estimera le montant des rendements attendus pour tout bien ou immeuble, et pas seulement le valeur de ce bien, comme un magasin commercial, où le contribuable paie l’ISF sur ce magasin et également sur les bénéfices de ce magasin.
La source indique que le directeur général des impôts au ministère des Finances a confirmé que les enquêteurs fiscaux auront de nouveaux pouvoirs qui leur permettront d’enquêter sur les propriétaires de la richesse, la taille de la richesse et la valeur des bénéfices générés par celle-ci, en coordination avec les organismes officiels tels que les banques, l’enregistrement immobilier et autres directions concernées autorisées à rechercher des propriétés, en comptant les riches, et un inventaire de leurs richesses et un inventaire