Et oui Noël Le Graët a pu vérifier la dimension sacrée de l’ancien meneur de jeu des Bleus Zinedine Zidane. Jamais des SMS à caractère sexuel, ou encore des scandales pédophiles étouffés ou même un management toxique: proférées à la fin de l’été à l’encontre de Noël Le Graët n’aura semblé faire trembler le numéro 1 du football Française. Mais il aura fallu simplement que Noël Le Graët s’attaque à Zidane pour se retrouver au bord du précipice
Les propos Noël Le Graët ont en effet déclenché une véritable tempête et repris de volée par Kylian Mbappé sur Twitter ou une nouvelle fois pointé du doigt par Amélie Oudéa-Castera, le patron de la FFF en a été quitte pour convoquer un Comex extraordinaire devant lequel il va devoir s’expliquer.
Toucher à Zidane, c’était toucher toute la France
On ne touche pas à Zinedine Zidane. C’est sans doute La conclusion de cette séquence. Rappelons nous quand Zidane était joueur, la presse people n’avait pas osé s’attaquer au héros du 12 juillet 1998. D’ailleurs, la journaliste Karen Adhar avait exhumé à cet effet un passage du livre Sexe Football Club, les dessous du foot paru en 2011. A travers cette publication le rédacteur fait mention d’une liaison adultérine que Zidane aurait entretenue avec Veronika Loubry l’année du sacre des Bleus. Notons qu’il s’agissait d’un affaire sortie dans la Tribune de Genève, qui avait déjà fait ses choux gras avec une histoire entre le n°10 de l’équipe de France et la chanteuse Nadiya.
« A l’époque, l’affaire avait mis en émoi les rédactions parisiennes. Des photos, montrant Zizou et l’animatrice s’embrassant au petit matin devant l’hôtel Crillon, auraient circulé dans tous les services photos des magazines parisiens. Personne n’aurait osé les publier. Toucher à Zidane, hissé au rang de monument historique, c’était toucher à la France », écrivaient les deux auteurs. Mais Apparemment cette leçon la Noël Le Graët n’a jamais cherché à l’apprendre