Les heures et les jours passent, mais la doleur persiste, car le rêve de voir le match Algérie Cameroun être rejoué s’évapore dans une fumé pathétique et écœurant. Mais au delà tout, ce sont les propos d’espérance du Ministre du Bonheurs algérien, Djamel Belmadi qui s’avèrent être comme des paroles de fumer sans « queue ni tête ». En effet, nous étions tous heureux d’écouté Belmadi clamer haut et fort que l’Algérie avait déposé un lourd dossier à la FIFA afin de dénoncer l’étrange arbitrage de Gassama.
jusqu’aujourd’hui ce dossier lourd n’a jamais pu se déplacer vers le bureau de la commission chargée de statuer sur cette affaire. Puisque le drapeau du Cameroun plane toujours au Qatar attendant le mondial 2022. Mais pourquoi alors avoir faire rêver les algériens ? ou est le dossier lourd de Belamdi ? Le match Algérie Cameroun aura t’il un replays? Voila là, des questions qui méritent encore et encore des réflexions. Mais pour l’heure nous vous invitons à travers cette édition à découvrir l’intégralité des propos du sélectionneurs algérien Belmadi. « Nous avons déposé un dossier lourd, la procédure est en cours. Quand je disais que nous n’allions plus jamais accepter qu’un arbitre nous lèse, c’était en référence à la dénonciation, justement. Le nœud du problème, c’est l’arbitrage africain… Si l’on regarde sur les trois-quatre dernières années, que je gagne ou que je perde, j’ai toujours dit qu’il y avait un gros problème d’arbitrage, et pas seulement de compétences. S’il y a un problème de compétences d’arbitrage, il faut prendre des mesures, réformer, former! Je n’aime pas l’immobilisme », avait affirmé le sélectionneur algérien, déplorant l’arbitrage de Bakary Gassama lors du match perdu 1-2 par l’Algérie contre le Cameroun.
« Il y a une mainmise de ceux qui ont le bras long sur l’arbitrage. Il y a du trafic d’influence. (…) Ça fait partie de notre dossier, mais ça fait surtout partie des priorités de la FIFA. Gianni Infantino en a parlé mais rien ne s’est passé…Notre recours… Le plus important pour moi, c’est que l’on prenne en considération une bonne fois pour toutes ces demandes, ces critiques, que ça n’arrive plus jamais. D’autres sélections pensent la même chose que nous mais ne peuvent pas parler parce qu’elles sont plus exposées, plus faibles ou d’autres raisons », avait-il ajouté.