L’accord franco-algérien de 1968 sur l’immigration fait l’objet de débats en France. Le nouveau Premier ministre Michel Barnier est pressé de revoir ce traité en lien avec l’Algérie.
L’Accord franco-algérien de 1968 sous les Feux des Critiques
L’accord de 1968, qui régit l’immigration algérienne en France, est au cœur d’un débat politique. Le mercredi 11 septembre, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe a exprimé son soutien au nouveau chef du gouvernement, Michel Barnier, et a relancé l’idée de réviser cet accord. Philippe, tout comme Barnier, prône une plus grande fermeté sur la gestion des flux migratoires, insistant sur la nécessité pour la France de retrouver son autonomie sur ces questions.
L’immigration, un Enjeu Central pour le Nouveau Gouvernement
Le nouveau Premier ministre Michel Barnier, connu pour ses positions rigides sur l’immigration, envisage de remettre en place le ministère de l’Immigration, tout en réexaminant des mesures restrictives telles que la limitation des régularisations et du regroupement familial. Philippe, de son côté, soutient que la France ne peut plus accepter un cadre migratoire qui lui échappe et plaide pour une révision en profondeur de l’accord de 1968 avec l’Algérie.