Un accord historique entre l’Algérie et le Qatar secoue le monde du transport aérien : vols illimités, opportunités économiques, ambitions portuaires… Découvrez pourquoi cet événement fait tant parler !
Vols illimités : l’Algérie et le Qatar font sauter les verrous du ciel
C’est une véritable bombe dans le secteur aérien ! Le 8 avril, Alger et Doha ont signé un accord sans précédent : Air Algérie et Qatar Airways peuvent désormais opérer un nombre illimité de vols – passagers comme fret – entre les deux pays. Fini les quotas. Fini les longues négociations bilatérales. Place à une liberté aérienne totale ! « Ce type d’accord est rarissime. C’est une ouverture stratégique sans précédent pour les deux nations », confie un expert du secteur.
Tourisme, business, logistique : Air Algérie et Qatar Airways, une alliance à très haut potentiel
Ce partenariat ne se limite pas aux avions. Il tisse une toile économique inédite entre l’Afrique du Nord et le Golfe. + 120 % de hausse attendue des flux touristiques entre les deux pays, selon les premières estimations internes. Côté fret, les opérateurs logistiques algériens se frottent déjà les mains : accès facilité au hub qatari = gain de temps + réduction des coûts.
Ports, infrastructures : l’Algérie lorgne sur le modèle qatari
Au-delà des airs, c’est la mer qui devient un nouveau terrain de coopération.
Le ministre algérien des Transports, Saïd Sayoud, en visite officielle au Qatar, a visité le port ultramoderne de Hamad, un joyau technologique. Objectif affiché : s’inspirer du savoir-faire qatari pour moderniser les infrastructures portuaires en Algérie. Déjà, 10 milliards de dollars sont annoncés pour rénover les ports sur la prochaine décennie ! « Ce que nous avons vu au port de Hamad est une source d’inspiration directe », a déclaré un responsable algérien.
Air Algérie et Qatar Airways : Une révolution géopolitique du transport ?
Avec cet accord, l’Algérie sort clairement du lot en Afrique du Nord.
Elle attire un partenaire de poids dans le Golfe et s’offre une vitrine pour son ambition de hub régional.
Mais cette entente soulève aussi des questions qui dérangent :
- L’Algérie peut-elle concurrencer Dubaï et Casablanca ?
- Air Algérie saura-t-elle gérer ce boom de trafic ?
Qui profite vraiment de cette libéralisation ?