Il s’agit là sans doute d’une histoire étonnante mais vrai. Savez vous que la première barbière de France est Algérienne de Kabylie ? Nous vous retraçons son histoire à travers cette édition de ce lundi 30 janvier 2023.
Et oui la première femme à épouser le métier de
barbière en France est d’origine Algérienne Du nom de Sarah Hamizi, née à Azazga, Elle ressuiera a entré dans ce cercle pourtant destiné aux Hommes. Elle même a raconté son histoire marquée bien sure comme toutes histoires par des péripéties. En outre notons que Sarah Hamizi, est née au début des années soixante-dix. Durant son enfance , Sarah Hamizi était plutôt attirée par le coupe-chou de son grand-père. Il s’agit d’un ancien rasoir en forme de couteau plié. Sûrement que c’est par là qu’elle a acquis la passion pour le métier de barbier. « Moi aussi, je manierai le coupe-chou », se promet-elle.
Il s’avérera qu’elle s’y mettrait, mais pas à Azazga ou en Algérie. Plutôt à Paris durant les années 1980. Malgré que ce métier soit réservé aux hommes, L’Algérienne décide tout de même de résister, puisqu’elle veut être une barbière. Grace à son dévouement Sarah Hamizi finira par trouver deux personnes qui cèderont à son « caprice ». Il s’agit » d’un barbier turc, Oskan Turak, du 10e arrondissement qui lui ouvre son salon et l’esthète Jean-Louis Bourasseau, qui lui délivre la plus complète des formations. D’ailleurs, elle ne cesse jamais de leur exprimer sa « reconnaissance éternelle ».
l’Algérienne se donnera à fond pour sa formation, au point où elle utilise ses propres jambes comme cobayes » nous souligne le site obsvalgérie.
Après sa formation , elle arrive par ouvrir son premier salon pas loin de Pigalle. Nous somme en Janvier 2000, et la France à sa première barbière d’origine Algérienne ! Pour une première elle enregistre le succès immédiat ce qui est naturel pour une femme qui veut la perfection. Il faut signaler que par la suite Sarah Hamizi a contribué à la résurrection de ce métier qui était en déclin en A France. Notre algérienne barbière a ouvert en tout sept salons dans la capitale française et a à son actif 45 salariés. Ainsi que, 2,5 millions d’euros de chiffre d’affaires.