Après la déclaration d’indépendance de la Kabylie par le mouvement MAK à Paris, un groupe qualifié de terroriste par Alger depuis 2021, l’État reste inébranlable. Cette dynamique est également visible dans le dénouement des affaires concernant Boualem Sansal et Mohamed Belghit, clôturées avec sagesse et engendrant une stabilité renforcée.
L’affaire Boualem Sansal et l’unité nationale
Boualem Sansal a émis des déclarations controversées concernant l’intégrité territoriale algérienne, accusant le colonialisme d’avoir altéré les frontières au profit du Maroc. Malgré sa récente nationalité française et son statut d’écrivain, Sansal a été condamné en Algérie pour ses affirmations, sans provoquer d’indignation majeure dans le pays.
Libéré par décision présidentielle pour des raisons humanitaires, sa culpabilité légale demeure néanmoins des faits reprochés. L’État algérien a estimé urgent de rétablir des faits et de condamner ses thèses qu’il juge historiques et expansives, nuisibles à la stabilité régionale.
La libération de Mohamed Belghit et ses conséquences
Mohamed Belghit, tenu responsable de propos portant atteinte à l’identité algérienne, a été libéré en raison de critères humanitaires après avoir été condamné. Cette décision, mûrement réfléchie, n’altère ni sa condamnation ni la fermeté étatique sur l’intégrité nationale.
Belghit, ayant présenté ses excuses au chef de l’État, doit désormais faire face à ses actes. L’Algérie a, une fois de plus, montré son inébranlable engagement envers l’unité nationale, comme l’a relaté le média El Khabar. Ces événements démontrent que les tentatives de division échouent face à la résilience du peuple et des institutions algériennes. Le MAK en a fait la douloureuse expérience récemment.
