Découvrez le classement 2025 des réserves de change en Afrique, avec un focus sur l’Algérie, deuxième du continent grâce à plus de 81 milliards de dollars.
Les réserves de change sont des indicateurs cruciaux suivis par les institutions financières au niveau national et international. Elles incluent des actifs en devises, des dépôts étrangers, des positions en Droits de tirage spéciaux et l’or monétaire.
Position de l’Algérie dans le classement africain

Selon Africa Business Insider et le Global Firepower Index 2025, l’Algérie se classe deuxième en Afrique avec des réserves dépassant 81 milliards de dollars. Ce niveau est influencé par les cours des hydrocarbures et les importations du pays. Les exportations de gaz et de pétrole demeurent essentielles pour l’acquisition de devises étrangères. Grâce à des ajustements stratégiques, le pays a pu regagner une stabilité financière après des périodes difficiles.
En septembre 2025, lors d’une entrevue avec les médias, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a déclaré que les réserves de change du pays étaient à un niveau jugé acceptable. Il a précisé qu’elles suffisaient à couvrir les importations pour une durée d’environ une année et demie.
Top 10 des réserves de change en Afrique
Le Global Firepower Index 2025 classe la Libye en tête avec plus de 92 milliards de dollars, suivie par l’Algérie. L’Afrique du Sud se place troisième avec 62,4 milliards de dollars. Le Nigéria, le Maroc, l’Égypte, l’Angola, la Tunisie, la Côte d’Ivoire et le Kenya complètent le top dix.
Facteurs déterminants des réserves de change
Les dynamiques économiques des pays africains varient : les grands exportateurs d’hydrocarbures, tels que la Libye, l’Algérie et l’Angola, reposent sur le pétrole et le gaz, tandis que des pays comme le Maroc profitent du tourisme pour leurs entrées de devises. Diverses mesures économiques, telles que les contrôles des importations, influencent également les réserves de change. Pour plus d’informations, consultez les données du Global Firepower Index 2025, qui offrent un aperçu complet des réserves de change sur le continent africain, révélant les différences dues aux structures économiques locales et à la gestion des flux financiers.