Le lundi, l’ambassade française en Algérie a révélé une progression significative du nombre de visas pour les étudiants algériens. Pour la rentrée universitaire de 2025, 8 351 visas ont été accordés, marquant une augmentation de plus de 1 000 visas par rapport à l’année précédente, représentant un accroissement de 12.5 %. Ce succès a été salué par l’ambassade sur les réseaux sociaux.
Tensions sur la scène politique française
Cette montée du nombre de visas étudiants a déclenché des tensions au sein de la politique française. Plusieurs personnalités politiques, dont Marion Maréchal, ainsi qu’Éric Ciotti, ont exprimé leur mécontentement face à cette politique d’accueil. Maréchal a critiqué cette approche diplomatique, qualifiée de masochiste, tout en s’interrogeant sur la position de l’ambassadeur concernant l’Algérie.
Critiques et enjeux économiques
Sarah Knafo a également critiqué cette hausse, décrivant les étudiants algériens comme un coût pour la France. Elle avance l’idée que l’Algérie coûte des milliards d’euros par an à la France, avec les étudiants représentant une part significative de cette somme. Cette prise de position s’inscrit dans un discours plus large de remise en question des relations entre la France et l’Algérie.