L’Algérie lance un recrutement au profit des doctorants. 185 postes pour doctorants via contrats sont annoncés afin de renforcer la recherche scientifique et l’innovation dans 10 centres spécialisés.
Opportunités de recrutement pour doctorants : 185 postes disponibles
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique d’Algérie a lancé une initiative visant à embaucher sous contrat des titulaires de doctorat actuellement sans emploi. L’objectif de cette démarche est d’accroître leur implication dans des projets de recherche et développement au sein de divers centres spécialisés du pays.
En tout, 185 postes sont proposés à travers 10 centres de recherche nationale, couvrant des projets variés dans les domaines de la recherche, de l’innovation et des technologies avancées. Toutefois, chaque candidat doit se limiter à une seule candidature par centre, nécessitant un choix réfléchi selon ses compétences et ambitions professionnelles.
Processus de candidature en ligne
Pour le compte de ce recrutement, la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT) a établi un système pour que les candidatures se fassent exclusivement en ligne. Les intéressés doivent utiliser la plateforme numérique dédiée accessible via candidature.dgrsdt.dz. Les jeunes docteurs du pays sont vivement incités à profiter de cette opportunité unique pour faire avancer leur carrière.
Des contrats pour stimuler le développement scientifique national
Ce programme contractuel est conçu pour offrir une première expérience professionnelle précieuse aux jeunes chercheurs, contribuant ainsi à leur future carrière dans des institutions académiques ou de recherche du pays. Bien que ces contrats ne soient pas permanents, ils sont axés sur des missions spécifiques selon les compétences des candidats, garantissant leur pleine intégration aux projets existants. Cette mesure non seulement soutient le développement du potentiel scientifique du pays, mais encourage aussi un investissement substantiel dans le capital humain algérien.