Écarté à Francfort, Farès Chaïbi refuse de lâcher prise. Son entraînement acharné pendant l’été envoie un signal fort au club. Détermination, fierté, ambition : il veut sa place en Ligue des champions.
Farès Chaïbi : le coup de poing d’un joueur qu’on croyait abattu
Mis à l’écart, ignoré, presque oublié… mais certainement pas brisé. À seulement 21 ans, Farès Chaïbi refuse de se résigner. Le milieu offensif algérien, relégué au second plan à l’Eintracht Francfort, a pris tout le monde à contre-pied. Alors que les rumeurs de transfert s’intensifient, lui choisit de répondre autrement : par le travail.
Loin des plages ou des soirées d’été, Chaïbi s’entraîne. Dur. Très dur. Musculation, cardio, discipline. Sur ses réseaux sociaux, il expose sa routine acharnée. Ce n’est pas un simple entraînement : c’est un cri. Un cri de rage, de volonté, d’ambition. Il ne veut pas partir. Il veut prouver. Et imposer.
Un été sous haute tension : il veut bousculer la hiérarchie
La saison passée fut frustrante : des bouts de matchs, une confiance vacillante de la part du staff, et peu de régularité. Pourtant, Chaïbi n’a jamais rompu. Aujourd’hui, il semble prêt à tout donner pour rebattre les cartes. Et il a un objectif en tête : intégrer le projet francfortois pour la saison 2025-2026… et jouer la Ligue des champions.
Ce défi, il le prend à bras-le-corps. Bien avant la reprise officielle, il prépare son corps et son mental. Une stratégie claire : arriver au top dès le premier jour du stage estival. Il le sait, chaque minute, chaque effort peut faire la différence. Et il veut être impossible à ignorer.
Un signal fort : “Je suis là, je veux me battre”
Ce message envoyé à Francfort est un coup de poing sur la table. Loin d’être un joueur résigné, Farès Chaïbi montre qu’il a l’étoffe d’un compétiteur. Ce n’est plus seulement une question de talent : c’est une question d’orgueil, de fierté nationale, et de rêve de Ligue des champions. L’Eintracht envisageait peut-être de le laisser partir. Mais face à une telle détermination, le club devra peut-être revoir ses plans. Car un joueur qui se bat pour sa place, avec une telle intensité, devient rapidement indispensable.